Ses grands formats sont autant de miroirs d’humanité, où se déploient nos corps d’origine. Ils sont faits d’éclats, de masses infinies, de cicatrices secrètes, et d’offrandes sublimes... Le fond de l’œuvre, écrasé sous les pas du jour, est espace sans fond. Diboum atteint le seuil fascinant où mystique et peinture s’épaulent et s’abîment. Il s’ouvre à ce qui le dépasse.